Ce type d’activité s’attaque directement aux causes qui sous-tendent le déficit de production d’aliments. Il consiste en l’amélioration de l’accès aux moyens de production agricole – terre, eau, graines, fertilisants –, en la protection des ressources naturelles et en l’amélioration de leur gestion, en une administration plus stratégique des ressources liées à l’élevage, ou encore en des avancées dans l’accès aux marchés.

Elles sont généralement menées à bien dans des contextes ruraux, bien qu’elles puissent aussi s’adapter à des zones urbaines et semi-urbaines, ainsi qu’à des camps de réfugiés ou de déplacés internes. Grâce à l’augmentation de leur productivité agricole et d’élevage, la sécurité alimentaire des familles rurales pauvres peut être garantie, le développement économique local étant au passage favorisé.